Début décembre 2016, les entreprises américaines leader sur le marché du web telles que Twitter, Facebook et Google, ont annoncé leur volonté de sallier afin de lutter contre la propagande terroriste diffusée sur internet via les réseaux sociaux.
Lobjectif est la création dune base de données commune, regroupant les contenus terroristes par le partage dempreintes numériques automatiquement affectées aux contenus.
Chaque entreprise repère des contenus puis décide de les enlever de son site, selon ses propres règles de modération et sa définition de la propagande terroriste. Cela permet une meilleure identification et modération des auteurs et des contenus.
Les entreprises gardent cependant un pouvoir de décision indépendant puisquaucun contenu ne sera retiré automatiquement des sites.
Le partenariat vise en priorité les images et messages extrêmes et flagrantes. Il deviendra opérationnel début 2017 et souvrira à de nouveaux acteurs.
Cette initiative intervient alors que les Etats-Unis, la Commission européenne et d’autres gouvernements ont multiplié leurs appels aux réseaux sociaux pour intensifier leur lutte contre la propagande djihadiste en ligne.